
Magnard est l’inventeur des cahiers de vacances (c’est écrit sur la couverture) mais les années d’expériences de suffisent pas à éviter les turbulences. Petite déconvenue à lire dans la suite !
Premier chapitre des révisions, et c’est avec un avenant « Bienvenue à Bord » que l’enfant entre en contact avec les premiers exercices : un texte à lire et des questions de français.

La technique familiale est de laisser Bastien faire les exercices, de répondre à d’éventuelles questions puis de corriger.
Sur l’exercice de vocabulaire (trouver des mots dans le texte de la même famille que ceux proposés ) Bastien signale rapidement une difficulté. On décide de voir ça à la correction.

A la correction, on remarque les bonnes réponses et les erreurs de Bastien (rien d’anormal ici), et aussi le blanc laissé à « d. Piloter ». Bien sûr, premier réflexe on se demande comment il n’a pas pu trouver un mot de la même famille sur un texte parlant d’un voyage en avion.
En fait s’il ne l’a pas trouvé c’est que ce mot n’existe pas dans le texte proposé (si, si regardez plus haut, et cherchez si le cœur vous en dit) alors que la correction de l’exercice nous dit que l’on devait trouver le « pilote ». Mais visiblement s’il était dans l’avion, il n’était pas dans le texte.

Au final, rien de catastrophique, si ce n’est que c’est le premier exercice du cahier de vacances et que sa diffusion n’est pas confidentielle. Et Bastien se retrouve à chercher un mot (donc la première fois qu’il fait un exercice de vacances !) qu’il ne peut pas trouver. Drôle de contact avec ce genre d’exercice.
L’année prochaine c’est promis, on lira les exercices avant de les donner à faire. En espérant que Magnard fasse de même !